Daniel Wass assure pouvoir offrir le titre de Ligue 1 à Evian dès la saison prochaine

Qu'il est difficile de faire sa place dans le paysage footballistique français. C'est en tout cas ce que pense Pascal Dupraz, l’entraîneur des Haut-Savoyards, fustigeant à de nombreuses reprises le manque de reconnaissance envers son club. Cette vision est aussi partagée par Daniel Wass l'artificier en chef d'une équipe en quête d'identité. Mais, plutôt que de se lamenter sur son sort, le danois compte être un acteur majeur de la montée en puissance de son club. Et pour se faire, il a sa petite idée. Au sortir du dernier entraînement matinal, il a été l'auteur de révélations fracassantes concernant son avenir et celui de l'ETG. Première affirmation surprenante, son désir de finir sa carrière en Haute-Savoie. « À l'image de Totti à l'AS Rome ou bien encore de Gerrard à Liverpool je compte moi aussi marquer à ma manière l'Histoire de l'ETG. »

Mais le joueur ne s'arrête pas là puisqu'il a fait part à de multiples reprises de son désir de rendre l'ETG plus attractive dès cette année afin de côtoyer Paris et Marseille à partir de l'an prochain. « Evian, c'est toute ma vie, je donnerai tout pour faire de ce club une place forte en Europe. Nous avons un stade magnifique, des infrastructures d’entraînement idéales et un centre de formation plein de promesses. Il est maintenant temps d'avoir une équipe première en adéquation avec ces éléments. »

Pour que l'ETG grandisse vite, Daniel Wass semble même prêt à se charger lui-même de la cellule de recrutement. Il nous a par exemple confié avoir eu son ami Iker Casillas au téléphone. Ce dernier lui aurait affirmé être intéressé par le projet et même prêt à rejoindre les Alpes dès cet hiver pour remplacer Jesper Hansen. La motivation du joueur nordique de 25 ans, à l'idée de faire d'Evian Thonon Gaillard une place forte de notre championnat, n'a que peu de chances d'aboutir, mais elle aura au moins le mérite de faire espérer les quelques courageux supporters de ce club dont le palmarès reste encore famélique.